Campus Driver, tome 1 : Supermad ; C.S. Quill


L'année universitaire qui débute promet d'être radieuse pour Lane O'Neill. Campus Drivers, l'application qu'il a fondée avec ses meilleurs amis, cartonne. Le concept est simple : jouer les taxis pour étudiant, au volant de voitures de collection. Les filles en raffolent, et les quatre chauffeurs ont à cœur de ne jamais décevoir leur clientèle.

Lane n'a qu'un seul défaut aux yeux de la gent féminine : il ne s'attache pas. Jamais. Dès qu'il pousse la porte de chez lui, il aspire à ce qu'on lui fiche la paix. Alors comment se retrouve t-il à héberger Lois Hogan, la fille que son voisin vient de larguer ?

Hugo & Cie • 2022 • 555 pages


Campus Driver est une trilogie qui m'intéresse depuis sa sortie en grand format et comme je sais (des fois) être patiente, j'ai attendu le format poche qui est arrivé en début d'année. Après avoir fouillé les rayons de ma fnac, je suis tombée sur le dernier tome 1 ! 

J'adore les romans qui se déroulent dans des campus universitaire aux États-Unis, donc je ne pouvais qu'être comblée ici. En plus, on a une idée originale qui est celle des Campus Driver, un groupe d'amis qui proposent leur service de taxis, à l'ensemble du campus. Une idée différente mais trop peu exploitée à mon goût, encore plus pour un tome un ! Mais ça change radicalement du groupe d'amis composés uniquement de sportifs et dont c'est le seul lien et ça fait du bien. On alterne l'histoire avec deux points de vues et ça donne un rythme dynamique et captivant, on veut toujours en savoir plus. 

On découvre des thèmes intéressants, comme le deuil ou encore la rupture amoureuse. C'est sur ce dernier point, que j'ai eu un peu plus de mal car l'héroïne veut tout faire pour reconquérir son ex (bon à la limite), mais elle va jusqu'à vouloir changer physiquement (ici, on parle coupe de cheveux mais aussi sport car il l'a trouve trop grosse) et c'est ça qui m'a dérangé, même si on comprend par la suite que c'est totalement inutile, j'aurai préféré qu'on appuie plus fermement sur le fait que non, on change pour soi, pas pour plaire à bidule qui nous a lamentablement jeté. 

Des surprises, des moments doux, des moments de franches rigolades, qui nous conduisent à une fin horrible et qui donne envie de se jeter sur la suite directement ! 

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